Il y a quelques semaines, je suis allée visiter Iguazu par ce qu'"il
faut absolument y aller". Et voilà une visite bien contrastée... Avant
toute chose, oui : Iguazu c'est un paysage merveilleux, magnifique...
des cascades dans un cadre tropical, des animaux en pagaille... Voici
quelques photos.
Few weeks ago I have been to Iguazy
because "You absolutly have to go". So I did ... a really constrasted
visit. First of all, yes: Iguazu it's a wonderful and splendid... falls
in a tropical landscape, a multitude of animals... So, there is some
picts.
Il faut, pour être exacte, préciser que mon expérience est influencée par le
jour de la visite (un week-end
prolongé) et la lecture de “En Avant Marche” un livre d’Alexandre Poussin,
parlant entre autres d’écologie.
Oui mais voila, même si le cadre est
somptueux. Je ne peux pas faire autrement
que d’être indignée concernant l’exploitation qui en est faite.
Les
parcs naturels, qu’il soit Brésilien ou Argentin sont tournés vers le
tourisme
de masse. Même s’il est important que tous puissent voir les chutes, il
en résulte une ambiance DisneyLand qui est bien peu agréable. C’est
tellement
aménagé que vous pouvez passer la journée sans que vos semelles ne
touchent la
terre. Le public cueille les fleurs, nourri les animaux, les enfants
arrachent
les ailes des papillons sous le regard amusé des guides.
Il y a quatre décennies les eaux
de cette
rivière étaient propres. Depuis, à cause de l’exploitation forestière
des
rivages, l’eau de pluie ruisselle, emportant la terre non protégée,
donnant
cette couleur rouge à la rivière. L’opacité de l’eau affecte le vivant:
les
poissons ne peuvent pas se rencontrer pour se reproduire, et les oiseaux
et les mammifères qui se piscivore ne peuvent voir leur proie.
Une drôle d’impression émanant du parc. De
nombreux visiteurs font partie d’un groupe dirigé par un guide. Ils portent
donc un badge à la poitrine avec le nom du guide et un numéro. Cette fois-ci
l’homme ne gaze plus les siens, mais extermine la nature. Doit-elle porter un numéro?
Bref, peut-être qu’il faut y aller, mais je
ne suis vraiment pas fière d’avoir passé un week-end, là bas, d’y être allée en
avion, d’avoir donc contribuer à la dégradation, d’être une part du problème.
To be exact, I have to precise my experience is influenced by the visit
day (a long week-end) and the reading of “En Avant Marche” d’Alexandre Poussin talking about many things and environmental problems.
public devant un seul et unique singe. Public in front of a single monkey. |
Even if the frame is beautiful, I ‘m so
shameful about its exploitation. Both Natural parks Brazilian or Argentineans
are adapted to the mass tourism.
Even though it’s important every one can see falls, there is a
Disneyworld atmosphere, not so pleasant. It’s so well fit up than you can spend
a full day without yours sole touch the soil. People pick up flowers, feed
animals, children tear off butterflies wing and guides looking that smiling.
Barely four decades ago the waters of this
river ran clear. Since then, with forest clearance in most of the watershed,
each time that it rains water washes away the unprotected soil, which turns the
river red. Turbidity affects wildlife: fish cannot find each other to court and
spawn, and birds and mammals which feed on fish cannot see their prey.
A odd impression emanate from parks. A lot
of people are a part of a group driving by a guide. The y wear a badge on their
chest with a number and the guide name. This time humans don’t gaze others but exterminate
the nature. Does it need to wear a number?
Maybe we “have to see it”, but I’m really
not proud to spent a week-end there, going in plane, to contribute to the
degradation, to be a part of the problem.
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